The new Babel – Midnight, Texas (1)

Coucou à tous !

Me revoilà donc avec un second article aujourd’hui ! J’espère retrouver vite un rythme plus calme !!!

Article garanti sans spoilers

Midnight, Texas – Saison 1

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Manfred Bernardo est l’héritier d’une longue lignée de mediums. Alors qu’il fuit les usuriers de sa grand-mère récemment décédée, l’esprit de celle-ci lui conseille d’aller se réfugier à Midnight, petite ville perdue du Texas où les habitants semblent être habitués au surnaturel.

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La ville aux super pouvoirs

 

Lorsque j’ai pris connaissance de ce projet, j’étais vraiment très impatiente ! D’abord parce qu’il s’agit d’une nouvelle adaptation d’une saga bitlit de Charlaine Harris et si vous me connaissez un peu, vous savez à quel point je suis une inconditionnelle de True Blood. Mais aussi de ce genre littéraire qui finalement se prête plutôt bien aux adaptations séries et qui après avoir été un peu trop utilisé, a fini par totalement disparaître de nos écrans avec la fin récente de The Vampire Diaries (même si perso j’avais laissé tomber depuis deux saisons). Et puis j’aime bien le genre de Charlaine Harris qui aime mélanger les créatures qui d’habitude sont bien plus cloisonnées. Ici on a du vampire, de la sorcière, du médium, de l’ange, du shifter… et même des humains !

On rajoute à cela un casting qui a tout pour me plaire : François Arnaud le beau gosse canadien qu’on ne voit pas assez, Peter Mensah que j’aime d’amour depuis Spartacus, et Arielle Kebbel dont le petit rôle dans TVD m’avait suffisamment marquée. Et puis la série m’a donnée envie de faire plus ample connaissance avec Dylan Bruce qui pourrait bien me motiver à regarder Orphan Black, Sarah Ramos – promis un jour je regarderai Parenthood, Parisa Fitz Henley qui m’avait bien moins marquée comme chérie de Luke Cage, Jason Lewis qui est connu aussi pour Brothers & Sisters ou encore Yul Vasquez qui me rappelle que je n’ai toujours pas vu Treme.

C’est donc pleine d’espoirs que j’ai attaqué cette nouvelle série estivale et je dois dire qu’au départ j’ai adoré. C’était plutôt chouette d’essayer de deviner qui était qui et de faire leur connaissance.

Si ce n’est que finalement la série s’est peut être justement trop reposée sur une galerie de personnages, bien servie par le casting, mais malheureusement beaucoup moins au niveau du scénario. Certains épisodes ne vont servir qu’à approfondir un personnage, tandis que d’autres serviront un des fils rouges. Parce que justement, ce qui est peut être le plus étrange, c’est qu’il y a plusieurs histoires et qu’elles ne se lient peut être pas naturellement. Je vous avoue que j’ai un peu de mal à savoir moi même pourquoi la sauce n’a pas totalement pris.

Parce que ok il y a des moments très kitchouilles, mais ça n’est vraiment pas ça qui m’a dérangée. Quand c’est assumé et servi par des effets spéciaux de qualité, j’aime plutôt ça.

Mais il manque quand même une histoire plus passionnante pour m’embarquer complètement.

Néanmoins, même si je râle un peu, j’ai quand même aimé suivre ces 10 épisodes. Surtout pour les personnages. Et finalement ce que j’ai préféré c’est que les personnages humains ne sont pas des êtres faibles incapables de se défendre et qui vont devoir se cacher derrière les surnaturels pour espérer finir l’épisode en vie. Les humains aussi sont badass. Les humains aussi sont des menaces. (paie ta rime à deux balles même pas calculée) Tout particulièrement les personnages féminins qui n’ont pas nécessairement besoin de de gros bras pour prendre soin d’elles. Et pour cela Charlaine Harris a bien évolué depuis Sookie qui n’était rien sans les mâles de sa vie et qui ne savait même pas se servir correctement de ses pouvoirs.

D’ailleurs j’aimerai beaucoup en savoir plus sur Olivia et rien que pour cela j’espère que la série sera renouvelée !! En tous cas si vous aimez le genre et que vous n’avez pas encore eu l’occasion de regarder cette série pendant l’été, je vous la conseille !

 

 

 

Des bisous et une bonne journée !

PS : juste parce que bon parler de vampires, de Charlaine Harris et toussa, je pouvais pas m’en empêcher…