Coucou à tous ! Avant d’attaquer une semaine très sériesque, faisons une petite escale lecture… 🙂

Catherine a subi une terrible déception amoureuse et depuis a en aversion l’idée de rencontrer un homme. Elle préfère passer son temps libre avec ses copines, son chat Luc et les romans qu’elle dévore. Justement, un jour dans un roman de Françoise Sagan elle tombe sur une note : un prénom, un numéro de téléphone et la mention « Appelle quand tu veux »…
En tombant sur ce livre dans une librairie, je n’ai pas pu résister – même si je me méfie toujours des livres trop peu épais… Il faut dire que la couverture réunit quelques unes de mes couleurs préférées, que le titre est drôle et le résumé me plaisait bien.
Si ce n’est qu’en le rajoutant dans ma pàl Livraddict j’ai lu énormément de commentaires négatifs…
Mais au moment de partir en vacances, je n’ai pas pu résister de mettre ce roman dans ma valise, sachant de toutes façons qu’il serait lu en une journée de plage !
Ce qui a été le cas. Et parce qu’il me fallait quelque chose de léger pour me remettre des tonnes de larmes versées en lisant le dernier Virginie Grimaldi.
Et bien vous savez quoi ? Je ne l’ai pas trouvé si horrible que ça ce roman ! C’est un roman de chicklit assez classique, avec une héroïne trentenaire en galère de mecs, des copines plus ou moins sympathiques, un boulot pas toujours facile – elle est prof – et une fin qu’on voit venir à des kilomètres mais qu’on est quand même contents de lire.
La différence vient sûrement du fait que Blandine Chabot est québécoise et du peu que j’en connaisse, j’ai l’impression qu’ils sont bien plus cash dans leur façon de parler que nous. Du coup, quand elle veut parler de sexe, elle y va franchement, sans tourner autour du pot. Et personnellement ça ne m’a pas choquée plus que ça. Ça ressemble au langage qu’on peut toutes avoir lorsqu’on parle avec une copine et c’est finalement rafraîchissant !
Quant à l’histoire en elle-même, je l’ai bien aimée. Ce mélange de romantisme complet et de réalité brute. Les difficultés qu’éprouvent Catherine à faire confiance aux hommes. L’humour totalement déjanté. Et même un petit passage qui m’a fait verser ma larme…
Ca n’est pas un indispensable, mais pour une après-midi au soleil c’est plutôt sympathique et ça fait du bien de lire de la chicklit avec un ton différent. Du coup, lorsque la suite de l’histoire sortira en poche – Si j’avais un dauphin je l’appellerais Stéphane (mais j’aimais bien aussi Suzanne) – je pense clairement que je le lirai !
Je vous souhaite une belle journée !
ca donne envie comme ça ^^ je lis plu depuis bien trop lgtps c dommage
mais les titres me font marrer en tout cas
Oui moi faut que je me force à lire plus ! parce que hors vacances j’ai vraiment un rythme pas folichon…