La pâtisserie de Long Island – Sylvia Lott

Et voici donc une nouvelle lecture ! Un roman sur lequel j’étais tombée totalement par hasard à la Fnac et que j’ai dévoré comme un bon gâteau ! 😀

Allez comprendre pourquoi, mais j’adôôôôre tous les romans – souvent assez romantiques – qui se déroulent dans l’univers de la restauration, de la cuisine et tout particulièrement de la pâtisserie ! On retrouve ici notamment les romans de Jenny Colgan La Petite Boulangerie du Bout du Monde, Une saison à la Petite Boulangerie et dernièrement Rendez-vous au Cupcake Café, mais aussi la saga Cupcake Club de Donna Kauffman. Des romans gourmands qui se laissent déguster avec plaisir et qui me rappellent à quel point j’adore faire de la pâtisserie ! 🙂

En tous cas j’ai découvert avec plaisir ce roman donc la particularité est qu’il s’agit d’une romancière allemande qui se sert de l’histoire de sa famille dont une bonne partie a immigré aux Etats-Unis. 

Car c’est bien là qu’est l’histoire de La Pâtisserie de Long Island. 

Marie est une femme âgée qui vit dans les Hamptons et qui à l’approche de son anniversaire décide d’inviter son jeune frère qui vit en Allemagne à la rejoindre pour les festivités. Comme celui-ci ne se sent pas de faire le voyage seul, il invite sa nièce – une photographe en pleine crise de la quarantaine – à l’accompagner.
L’occasion pour Marie de se remémorer ses jeunes années en Frise orientale, son départ pour New York et ses premières années américaines. Une période difficile dans la vie d’une jeune femme qui va se raccrocher à sa recette familiale de cheesecake.

Et justement c’est tout cet aspect qui m’a plu dans ce roman. On y découvre la vie de l’Entre-Deux Guerres dans une région pauvre de l’Allemagne, l’American Dream qui n’est pas nécessairement ce que l’on croit, l’ambiance des années 30 à New York,  une jolie histoire d’amour et bien sûr toute la symbolique de la transmission inter-générationnelle.

Pour une fois je lisais un roman – qui certes se déroulait principalement aux Etats-Unis – mais n’était ni américain, français ou anglais. C’est intéressant d’avoir une autre vision des choses !

La seule chose que je peux regretter un peu, c’est la fin avec Rona la petite nièce. Les chapitres la concernant sont très disséminés pendant tout le livre et à la fin on a une grosse partie qui la concerne et du coup j’ai trouvé cela un peu bancal. Parce qu’au final on s’attache plus à Marie et on préfèrerait passer encore un peu plus de temps avec elle. Mais c’est juste une petite remarque parce qu’il faut bien en faire une !

En tous cas si vous aimez le genre, vous pouvez y aller les yeux fermés, c’est vraiment une lecture agréable. Et si vous en avez dans le même style à me conseiller, je suis bien évidemment preneuse ! 🙂

Tags:, ,

Catégories : Lecture

Souscrire

Souscrire à nos flux RSS et profils sociaux pour recevoir les mises à jour.

Rétroliens/Pings

  1. La merveilleuse boutique de crèmes glacées de Viviane – Abby Clements | Smells like Chick Spirit - 30 juin 2020

    […] Kauffman qui était vraiment sympathique même si peut être plus ancrée chicklit. Il y a eu aussi La Pâtissière de Long Island de l’Allemande Sylvia Lott que j’avais beaucoup aimé parce que c’était surtout […]

Comments like Chickspirit